L’espionne de la marine est une petite nouvelle de Gustave Le Rouge publiée en 1917 dans la collection Patrie (dans laquelle est aussi publié Le roman d’un sénégalais). Patriotisme du héros, fourberie de l’espionne, avec tous les poncifs qui s’y rattachent, sauf qu’il s’agit ici d’un texte de Gustave Le Rouge.
Alimentaire, sans doute en cette période de restriction, cette nouvelle montre bien l’état d’esprit dominant de cette collection : « vive la France (et ses alliés) » et comme on aime bien punir les grands méchants, on est servi !